Reflet d'Obione, restaurant gastronomique dans l’Hérault
La philosophie du restaurant étoilé Reflet d'Obione : une cuisine de conscience
Le restaurant d'Reflet d'Obione s’inscrit dans une démarche écoresponsable et souhaite mettre en valeur le territoire dans lequel il s’inscrit.
C’est pourquoi il valorise les circuits courts et met en avant les producteurs et artisans locaux.
Aucun produit n’arrive transformé, tout est travaillé et sublimé sur place par les cuisiniers.
La décoration, des assiettes aux coffrages en bois, a été réalisée sur mesure par des artisans locaux. Elle est le résultat de recherches et d’un partenariat étroit en lien avec la nature, le local et le vivant.
Le chef Laurent CHERCHI : un parcours d’excellence
Cuisinier et pâtissier de formation, Laurent CHERCHI s’est formé au gré de ses voyages, auprès de chefs de renom dans des restaurants gastronomiques étoilés.
Il est notamment passé par Le Chalet de la Forêt**(Belgique) aux côtés de Pascal Devalkenner en tant que pâtissier, dans les cuisines de Vue de Monde, en Australie ou encore chez Lasserre**, auprès de Christophe Moret, en tant que chef saucier.
C’est fort de ce parcours d’excellence, animé par une haute exigence éthique et porteur, déjà, de cette « cuisine de conscience » devenue sa marque de fabrique, qu’il crée et ouvre en 2018, avec sa conjointe Adèle Escafit, Reflet d'Obione, dans l’Écusson de Montpellier.
Une étoile rouge et une étoile verte Michelin, ainsi que le Prix des Jeunes Talents Gault et Millau, sont déjà venus distinguer cette belle adresse qui attire déjà à elle autant les amoureux de restaurants gastronomiques que les gourmets en quête d’éthique culinaire.
L’obione
Laurent CHERCHI et Adèle Escafit ont mis leur restaurant sous le signe de leur lien avec la nature : le joli nom de l’établissement vient d’une plante comestible, l’obione (ou halimione faux-pourpier), un petit arbrisseau de 30 à 60 cm de hauteur, dont les petites feuilles offrent des reflets verts-argentés.
L’obione se trouve dans les zones d’estuaire ou de marais salants où elle côtoie d’autres plantes comestibles comme la salicorne, la christe marine ou encore l’aster maritime.
Ses feuilles offrent une texture croquante et une agréable saveur salée.
« J’ai souhaité que notre restaurant soit le reflet du territoire dans lequel il s’inscrit avec la notion d’une gastronomie qui nourrit sainement l’humain. »
Laurent Cherchi